Bonjour et bienvenue! Je suis Boris. J’ai posé mon premier pas sur le net en 1994 et depuis je poursuis la découverte de ce continent en tant que créateur web mais pas seulement et comme vous l’apprendrez sur la restitution de mon parcours. Je suis un créateur web. Je mets sur pied de nouveaux services web consécutivement à mes observations et réflexions. J’ai créé par exemple une offre de service qui aide les entrepreneurs à augmenter le retour sur investissement procuré par leur site web. Mon approche créative du web et mon statut d’entrepreneur individuel me confère la possibilité de vous accompagner au tout début du processus de création de votre site web pour vous permettre de formuler clairement votre intention par écrit sous forme d’une feuille de route. Je m’occupe également d’écrire le cahier des charges de votre site web à partir de la feuille de route que nous aurons définie, puis de sa maitrise d’ouvrage.
J’habite en France à Orléans. Vous pouvez entrer en contact avec moi par écrit ou par téléphone. A bientôt,
Bonjour et bienvenue! Je suis Boris. J’ai posé mon premier pas sur le net en 1994 et depuis je poursuis la découverte de ce continent en tant que créateur web mais pas que et comme vous l’apprendrez sur la restitution de mon parcours. Je suis un créateur web. Je mets sur pied de nouveaux services web consécutivement à mes observations et réflexions. J’ai créé par exemple une offre de service qui aide les entrepreneurs à augmenter le retour sur investissement procuré par leur site web. Mon approche créative du web et mon statut d’entrepreneur individuel me confère la possibilité de vous accompagner au tout début du processus de création de votre site web pour vous permettre de formuler clairement votre intention par écrit sous forme d’une feuille de route. Je m’occupe également d’écrire le cahier des charges de votre site web à partir de la feuille de route que nous aurons définie, puis de sa maitrise d’ouvrage.
J’habite en France à Orléans. Vous pouvez entrer en contact avec moi par écrit ou en utilisant le bouton d’appel vert situé en bas à gauche de votre écran. Je réponds à toute sollicitation. A bientôt,
Je ne prévois d’utiliser à cet instant aucune IA générative de type ChatGPT et quelque soit son domaine (vidéo, image, son, etc.).
Il y a un peu plus de 20 ans j’avais conclu à la nécessité de faire la même chose, au bout de quelques mois d’utilisation, quand il s’agissait de télécharger des films ou des albums musicaux par réseau peer-to-peer. J’avais en conséquence abandonner la pratique du téléchargement peer-to-peer. A l’époque je me suis rendu compte en effet que l’on manquait de faire une observation majeure pour ce qui relève de la création et qu’en conséquence on la piétinait ainsi que les créateurs. On revit la même chose avec les IA génératives. Mais cette fois pour ce qui me concerne, et contrairement au peer-to-peer, je n’ai aucun besoin de tester les IA génératives.
L’IA peut surement être utilisée à bon escient mais pas de cette façon selon moi.
J’ai commencé à m’exprimer dessus ; nous vivons une nouvelle ère du téléchargement où certains vont estimer légal de prendre le travail intellectuel des autres sans ménagement. Or je ne consens pas à ce modèle.
On ne comprendra que plus tard les conséquences désastreuses de l’essor fulgurant des IA génératives mais pour moi il ne fait aucun doute qu’une course est ouverte actuellement où les créateurs d’IA génératives cherchent à s’accaparer des places de marché au détriment des créateurs de contenus humains.
A cet instant j’ai clairement établi qu’il était nécessaire pour les créateurs de manifester leur refus de voir leurs contenus aspirés sur le web notamment du fait de la pratique dit du ‘webscraping’, pratique qui peut être le fait d’IA qui auraient besoin de données pour se forger et se maintenir.
Je peux déjà anticiper qu’il y a “pire” que ChatGPT qui arrive. Pas spécialement pire pour ce qui est de la puissance de calcul mais pour ce qui de la manière dont sera constitué le modèle génératif constitutif des IA génératives.
Après l’écriture de mon article en 4 parties (1, 2, 3 et 4) intitulé « Je suis un créateur de sites web » lequel a donné lieu à la mise en évidence d’une matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web, j’ai été inspiré pour poursuivre et compléter la matrice et j’ai pu écrire de nouveaux contenus sur brouillon mais je suis confronté à une limite ; je ne dispose plus suffisamment de temps pour poursuivre ce travail de fond lequel demande une disponibilité et une concentration importante.
Le risque c’est que ce savoir ne puisse vivre et se présenter dans sa globalité, c’est à dire s’interrompt dans sa lancée et finalement se perde alors qu’il constitue une authentique richesse.
Il est en effet une authentique richesse car il pose les bases d’un nouveau paradigme de la création sur le web et alors que celui-ci est aujourd’hui moribond.
En conséquence j’ai pris la décision d’entamer une manière de poursuivre ce travail et selon un déroulé que je livre ci-après.
J’ambitionne de faire du savoir accumulé autour de la notion de matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web une richesse universelle.
Voici la déclaration associée :
La « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web » est une création originale qui selon la volonté de son créateur, Boris Perchat EI, a vocation à devenir à l’horizon 2025 une richesse universelle.
Cela signifie que le savoir accumulé autour de la notion de « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web » sera légué à l’humanité et de façon à être librement accessible à tous.
A ce stade d’avancement, alors que nous sommes en février 2023, il est impossible de prévoir la forme que prendra ce legs aussi ce sujet fera l’objet de recherches et de discussions.
Il sera également discuté de la possibilité de donner une dimension collaborative à ce savoir dont il aura été fait don et de façon à ce qu’il soit à partir de 2025 librement enrichissable des apports de chacun et dans une optique d’enrichissement perpétuel.
Voilà pour la destination.
Pour y parvenir il va être question de traverser différentes étapes explicitées ci-après.
Avant de parler de ces étapes voici une précision sur le constat qui a conduit à l’écriture du contenu relatif à la « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web »
L’écriture de contenu a été motivé par un constat de crise effectué par son auteur : en sa qualité de créateur de sites web il lui a été pour ainsi impossible de se faire comprendre et accepter sous cette domination et celle-ci lui a même occasionné des déconvenues commerciales et dont il a une part de responsabilité.
Les prospects ne perçoivent pas en quoi ce statut diffère d’un concepteur web et quant à Boris Perchat il n’a pas pris le temps de leur expliquer cette différence ni même d’en explorer pour lui-même toutes les implications si bien qu’il a été amalgamé et s’est laissé amalgamé à ce statut. Même si le statut de concepteur web ne lui est pas étranger car il est en mesure d’effectuer de la conception web, c’est dans le statut de créateur web pour lequel il ressent le plus d’affinités.
Réfléchissant à cet amalgame et à son manque d’affirmation pour ce qui relève de ce statut dans lequel il se reconnait pourtant parce qu’il a oeuvré de nombreuses années en sa faveur il a décidé d’écrire un texte afin d’éclaircir et apporter des explications salutaires aussi bien pour lui-même que pour ses connaissances passées, présentes et à venir. Ce texte a été écrit en 4 parties sur son site web borisperchat.fr et selon les urls suivantes :
Ces étapes vont permettre de passer progressivement d’une création individuelle et protégée (2023) à une création universelle et ouverte (2025). Ecrites début mars 2023 ces étapes sont susceptibles de changements et d’améliorations lesquels seront explicités par Boris Perchat EI sur son site web borisperchat.fr et accessible par le tag #ouvertureEtapes.
1ère étape = protection copyright
Cette étape est déjà accomplie du fait du placement du site web borisperchat.fr sous licence copyright Copyrightdepot.com00067851-4
2ème étape = placement anticipatoire sous licence Richesse Collaborative Universelle (RCU) de type 1 à compter du 28 février 2023
La crise que la création intitulée « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web » s’attelle à résorber est trop importante pour que son créateur Boris Perchat EI puisse y parvenir seul et compte tenu des ses moyens et de sa disponibilité en ce jour du 28 février 2023. En conséquence Boris Perchat EI décide de placer la « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web » sous licence Richesse Collaborative Universelle (RCU) et de façon à ce qu’elle reçoive au sein d’un cadre explicite et collaboratif, les contributions d’individus et d’entreprises désireuses de participer à son enrichissement.
Parmi les 4 déclinaisons de cette licence, Boris Perchat EI, choisit la licence RCU de type 1 stipulant que personne ne peut exploiter d’une quelconque manière que ce soit et à une quelconque fin que ce soit, même partiellement, pour son propre usage ou pour un usage tiers, la création intitulée « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web » jusqu’à ce que Boris Perchat EI décide éventuellement du contraire en plaçant celle-ci sous une licence RCU supérieure de type 3 ou 4 ou en procédant à son retrait intégral de la licence RCU selon les conditions de retrait types.
Ce placement est anticipatoire et comme l’autorise la licence RCU. Ce placement anticipatoire signifie que les chantiers collaboratifs, le journal de bord et la comptabilité générale seront créés ultérieurement au sein d’un site web dédié à la « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web ».
3ème étape = ouverture effective d’un site web pour mettre en route les chantiers collaboratifs, un journal de bord et une comptabilité générale.
Pas de date envisagée à ce jour (28 février 2023). Boris Perchat EI envisage que cette étape soit réalisée dans le premier semestre 2023.
4ème étape = ouverture d’un chantier dédié à anticiper la forme que revêtira le savoir légué et de son possible enrichissement perpétuel une fois légué
Pas de date envisagée à ce jour (28 février 2023). Une discussion au sein d’un chantier collaboratif sera entamée dès lors que l’étape 3 sera consacrée.
5ème étape = le savoir accumulé autour de la « Matrice (presque) universelle des étapes de création d’un site web » devient un richesse universelle selon la forme qui aura été décidée au sein de l’étape 4
Extrait : << En tant qu’internaute, lorsque vous revenez régulièrement sur un blog pour y lire des articles lesquels suscitent chez vous un intérêt et inspirent votre action cela ne signifie pas que l’auteur de ces articles vous influence. C’est vous en tant que lecteur qui êtes prêt à recevoir ce contenu et qui autorisez les effets qu’il peut avoir sur vous. >>
<< Aucun blogueur n’a d’emprise sur son lectorat à moins que ce dernier ne le lui autorise.>>
A l’époque on parlait de blogueurs influents… avant que le terme ‘influenceurs’ ne s’impose.
Je ne suis pas un spécialiste du droit et lorsque j’ai pris ces dernières semaines l’initiative ici et ici d’indiquer dans les mentions légales de mon site web que je n’autorise pas le webscraping du contenu de mes pages et que cette pratique est soumise à mon consentement préalable je n’avais pas de certitude que cela ait véritablement du sens ou plutôt une portée légale authentique. Ce n’était pas d’ailleurs mon souci premier, je cherchais surtout à prendre les devants et à refuser cette pratique sur mes contenus. Or sa portée légale semble bien réelle.
Je m’apprêtais à rédiger un nouvel article (qui sera publié une autre fois car le présent article a pris le temps que je voulais lui consacrer) et pour parler d’une nouvelle pratique que j’envisage de mettre en oeuvre sur mes pages pour ce qui relève du webscraping quand mes recherches sur le mot ‘webscraper’ m’ont fait atterrir sur une page éclairante.
Soit dit en passant le terme ‘webscraper’ que je pensais pouvoir utiliser pour l’associer aux pratiquants du webscraping dans mon article n’est définitivement pas un terme utilisé à cette fin. Il n’existe pas de termes pour les pratiquants du webscraping.
Cette page sur laquelle je suis donc parvenue de clic en clic est celle d’une entreprise spécialisée dans la pratique du webscraping. Elle indique qu’un propriétaire de site web peut se protéger de la pratique du webscraping en indiquant dans les conditions d’utilisation de celui-ci son refus de voir ses pages absorbées par webscraping. Et qu’en conséquence un pratiquant du webscraping ne pourra obtenir le contenu des pages et à moins d’en demander l’autorisation à son propriétaire.
Extrait de l’article : << Web scraping can generally be done without asking for permission of the owner of data if it does not a violate the website’s terms of service. Each website has Terms of Service (ToS), you can easily find that document in the footer of the page and check that there is no direct prohibition on scraping. If a website has written under its ToS that data collection is not allowed, you risk being fined for web scraping, because it is done without the owner’s permission. >>
Pour ma part j’ai indiqué cette condition il y a quelques semaines dans les mentions légales de mon site web et le fait qu’il soit évoqué ‘Terms of Service (ToS)’ autrement dit les conditions générales d’utilisation (CGU) m’interpelle. Il pourrait être effectivement plus juste de le mentionner dans des CGU ce à quoi je vais m’atteler sous peu sur mon site web.
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Tous les articles sur ce sujet sont regroupés au sein du tag #nowebscraping.
Pour D’un regard extérieur par exemple, de l’idée à la réception du paiement du premier client en passant par la création du site web : 7 mois de travail (à raison de plusieurs heures par jour).
Dans ma page des mentions légales, j’ai entrepris d’élargir le champs de protection des données pour ce qui relèverait d’une extraction ou d’une absorption à laquelle je m’oppose même si ce procédé est une pratique légale actuellement. Initialement je l’avais cantonné à la pratique au webscraping. Je viens de l’élargir à tout moyen d’extraction ou d’absorption utilisé. Le webscraping est un moyen parmi d’autres et j’ai précisé à ce titre une autre extraction possible : l’intervention humaine.
Précédemment j’avais nommé mon paragraphe : Pratique du webscraping à destination du site web borisperchat.fr
Il s’intitule désormais : Extraction des données du site web borisperchat.fr notamment par webscraping
Si vous souhaitez utiliser mon paragraphe à l’identique pour votre usage, c’est possible mais j’ai besoin que vous m’en demandiez au préalable l’autorisation. Si vous avez l’intention d’écrire votre propre paragraphe indépendamment du mien, contactez-moi également pour que nous puissions échanger sur le sujet.
On connait tous l’importance de connaitre son client pour le comprendre, anticiper ses besoins et satisfaire ses attentes. Cette connaissance on la nomme la connaissance client. Mais je suggère que le focus soit également mis sur la connaissance prestataire.
De quoi s’agit-il ?
La connaissance prestataire c’est offrir à ses clients ou prospects le moyen de comprendre facilement son métier.
C’est leur donner une matière qui leur offre sans effort les clefs de compréhension, les fondamentaux, qui régissent notre activité et de façon à ce qu’ils puissent nous comprendre et ne plus se poser de question ni subir mais au contraire être maitre de la situation et de la suite des événements.
Je vais prendre mon exemple.
Je suis créateur web freelance.
La création sur le web est mal comprise et le processus qui mène à la création d’un site web est devenu un procédé hermétique que seuls les professionnels du domaine peuvent réellement appréhender.
L’ennui c’est que, en conséquence, les clients se posent trop de questions, se font des idées, vous prennent pour ce que vous n’êtes pas. Cela a des conséquences bien réelles sur leur prise de décision.
C’est ainsi qu’il m’est arrivé de parler avec un prospect qui s’imaginait qu’en tant que créateur web j’étais en mesure de pirater son ordinateur en utilisant l’internet. Cela n’a pas été l’objet de notre négociation bien entendu, le sujet est intervenu après celle-ci alors que l’échange était devenu informel. J’ai été évidemment surpris de cet amalgame mais après tout je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas avoir suivi mon parcours car aurais-je pu prétendre de mon côté connaitre tous les rouages et subtilités de son métier ? Non.
Encore plus intriguant selon mon point de vue : j’entends des professionnels du web se présenter en tant que créateurs web (en toute bonne foi cependant) alors qu’ils sont en réalité des concepteurs et qu’en se nommant créateurs ils brouillent les repères à l’attention des personnes non averties, nos futurs clients.
Ma proposition : plutôt que de partir sur de fausses idées, clarifions en tant que prestataire le spectre des possibles (et des impossibles) dés le départ et pour éviter tout quiproquo ou mauvaise interprétation du prospect futur client.
Que faire si un prestataire n’offre pas cette connaissance ?
Il peut être alors réalisée une étude et pour comprendre les fondamentaux du métier de son prestataire.
Cette étude peut être réalisée en interne et son coût amorti aisément du fait que la relation avec le prestataire en question est une question d’années ou de décennies. Il s’agit alors d’un investissement.
Cette étude peut être en outre le fait d’un cabinet spécialisé dans la connaissance prestataire. Il y a là de la place pour un nouveau métier et un nouveau marché. Qui veut commencer ?
Cette étude peut être enfin demander à un prestataire comme condition à la signature d’un contrat dans un cahier des charges par exemple et pour sceller une collaboration sur le moyen ou long terme.
Ma proposition mériterait un plus grand développement. Je vous livre un ressenti et tente un argumentaire pour esquisser un modèle qui peut être vous inspirera et suscitera de nouvelles vocations.
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