Bonjour et bienvenue! Je suis Boris.
J’ai posé mon premier pas sur le net en 1994 et depuis je poursuis la découverte de ce continent en tant que créateur web mais pas que et comme vous l’apprendrez sur la restitution de mon parcours.
Je suis créateur web freelance c’est à dire que je suis en mesure de vous accompagner au tout début du processus de création de votre site web pour vous permettre de formuler clairement votre intention par écrit sous forme d’une feuille de route.
Je m’occupe également d’écrire le cahier des charges de votre site web à partir de la feuille de route que nous aurons définie, puis de sa maitrise d’ouvrage.
Je suis par ailleurs à l’origine d’une offre de service qui aide les entrepreneurs à accroitre le retour sur investissement procuré par leur site web.

J’habite en France à Orléans. Vous pouvez entrer en contact avec moi par écrit ou par téléphone. A bientôt,

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Bonjour et bienvenue! Je suis Boris.
J’ai posé mon premier pas sur le net en 1994 et depuis je poursuis la découverte de ce continent en tant que créateur web mais pas que et comme vous l’apprendrez sur la restitution de mon parcours.
Je suis créateur web freelance c’est à dire que je suis en mesure de vous accompagner au tout début du processus de création de votre site web pour vous permettre de formuler clairement votre intention par écrit sous forme d’une feuille de route.
Je m’occupe également d’écrire le cahier des charges de votre site web à partir de la feuille de route que nous aurons définie, puis de sa maitrise d’ouvrage.
Je suis par ailleurs à l’origine d’une offre de service qui aide les entrepreneurs à accroitre le retour sur investissement procuré par leur site web.

J’habite en France à Orléans. Vous pouvez entrer en contact avec moi par écrit ou en utilisant le bouton d’appel vert situé en bas à gauche de votre écran. Je réponds à toute sollicitation. A bientôt,

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Extrait : << En tant qu’internaute, lorsque vous revenez régulièrement sur un blog pour y lire des articles lesquels suscitent chez vous un intérêt et inspirent votre action cela ne signifie pas que l’auteur de ces articles vous influence. C’est vous en tant que lecteur qui êtes prêt à recevoir ce contenu et qui autorisez les effets qu’il peut avoir sur vous. >>

<< Aucun blogueur n’a d’emprise sur son lectorat à moins que ce dernier ne le lui autorise.>>

A l’époque on parlait de blogueurs influents… avant que le terme ‘influenceurs’ ne s’impose. 

J’estimais que nous faisions fausse route.

L’article : La notion de blogueur influent nous fait faire fausse route

Je ne suis pas un spécialiste du droit et lorsque j’ai pris ces dernières semaines l’initiative ici et ici d’indiquer dans les mentions légales de mon site web que je n’autorise pas le webscraping du contenu de mes pages et que cette pratique est soumise à mon consentement préalable je n’avais pas de certitude que cela ait véritablement du sens ou plutôt une portée légale authentique. Ce n’était pas d’ailleurs mon souci premier, je cherchais surtout à prendre les devants et à refuser cette pratique sur mes contenus. Or sa portée légale semble bien réelle.

Je m’apprêtais à rédiger un nouvel article (qui sera publié une autre fois car le présent article a pris le temps que je voulais lui consacrer) et pour parler d’une nouvelle pratique que j’envisage de mettre en oeuvre sur mes pages pour ce qui relève du webscraping quand mes recherches sur le mot ‘webscraper’ m’ont fait atterrir sur une page éclairante.

Soit dit en passant le terme ‘webscraper’ que je pensais pouvoir utiliser pour l’associer aux pratiquants du webscraping dans mon article n’est définitivement pas un terme utilisé à cette fin. Il n’existe pas de termes pour les pratiquants du webscraping.

Cette page sur laquelle je suis donc parvenue de clic en clic est celle d’une entreprise spécialisée dans la pratique du webscraping. Elle indique qu’un propriétaire de site web peut se protéger de la pratique du webscraping en indiquant dans les conditions d’utilisation de celui-ci son refus de voir ses pages absorbées par webscraping. Et qu’en conséquence un pratiquant du webscraping ne pourra obtenir le contenu des pages et à moins d’en demander l’autorisation à son propriétaire.

Extrait de l’article : << Web scraping can generally be done without asking for permission of the owner of data if it does not a violate the website’s terms of service. Each website has Terms of Service (ToS), you can easily find that document in the footer of the page and check that there is no direct prohibition on scraping. If a website has written under its ToS that data collection is not allowed, you risk being fined for web scraping, because it is done without the owner’s permission. >>

Pour ma part j’ai indiqué cette condition il y a quelques semaines dans les mentions légales de mon site web et le fait qu’il soit évoqué ‘Terms of Service (ToS)’ autrement dit les conditions générales d’utilisation (CGU) m’interpelle. Il pourrait être effectivement plus juste de le mentionner dans des CGU ce à quoi je vais m’atteler sous peu sur mon site web.

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Tous les articles sur ce sujet sont regroupés au sein du tag #nowebscraping.

Il faut parfois rappeler les évidences…

La création c’est du temps. 

Pour D’un regard extérieur par exemple, de l’idée à la réception du paiement du premier client en passant par la création du site web : 7 mois de travail (à raison de plusieurs heures par jour). 

Mon article de fond en 4 parties où je fais un point sur mon statut de créateur web c’est 4 jours (entiers) de travail.

Mon article de fond pour relater l’internet de 1995 c’est 5 jours (entiers) de travail.

Tous, sont des créations originales et des sujets de fonds qu’aucune machine ne serait en mesure de produire.

Dans ma page des mentions légales, j’ai entrepris d’élargir le champs de protection des données pour ce qui relèverait d’une extraction ou d’une absorption à laquelle je m’oppose même si ce procédé est une pratique légale actuellement. Initialement je l’avais cantonné à la pratique au webscraping. Je viens de l’élargir à tout moyen d’extraction ou d’absorption utilisé. Le webscraping est un moyen parmi d’autres et j’ai précisé à ce titre une autre extraction possible : l’intervention humaine.

Précédemment j’avais nommé mon paragraphe : Pratique du webscraping à destination du site web borisperchat.fr

Il s’intitule désormais : Extraction des données du site web borisperchat.fr notamment par webscraping

Si vous souhaitez utiliser mon paragraphe à l’identique pour votre usage, c’est possible mais j’ai besoin que vous m’en demandiez au préalable l’autorisation. Si vous avez l’intention d’écrire votre propre paragraphe indépendamment du mien, contactez-moi également pour que nous puissions échanger sur le sujet.

La page des mentions légales

Tous les articles sur ce sujet seront regroupés au sein du tag #nowebscraping désormais.

On connait tous l’importance de connaitre son client pour le comprendre, anticiper ses besoins et satisfaire ses attentes. Cette connaissance on la nomme la connaissance client. Mais je suggère que le focus soit également mis sur la connaissance prestataire.

De quoi s’agit-il ?

La connaissance prestataire c’est offrir à ses clients ou prospects le moyen de comprendre facilement son métier.

C’est leur donner une matière qui leur offre sans effort les clefs de compréhension, les fondamentaux, qui régissent notre activité et de façon à ce qu’ils puissent nous comprendre et ne plus se poser de question ni subir mais au contraire être maitre de la situation et de la suite des événements.

Je vais prendre mon exemple.

Je suis créateur web freelance. 

La création sur le web est mal comprise et le processus qui mène à la création d’un site web est devenu un procédé hermétique que seuls les professionnels du domaine peuvent réellement appréhender.

L’ennui c’est que, en conséquence, les clients se posent trop de questions, se font des idées, vous prennent pour ce que vous n’êtes pas. Cela a des conséquences bien réelles sur leur prise de décision.

C’est ainsi qu’il m’est arrivé de parler avec un prospect qui s’imaginait qu’en tant que créateur web j’étais en mesure de pirater son ordinateur en utilisant l’internet. Cela n’a pas été l’objet de notre négociation bien entendu, le sujet est intervenu après celle-ci alors que l’échange était devenu informel. J’ai été évidemment surpris de cet amalgame mais après tout je ne pouvais pas lui en vouloir de ne pas avoir suivi mon parcours car aurais-je pu prétendre de mon côté connaitre tous les rouages et subtilités de son métier ? Non.

Encore plus intriguant selon mon point de vue : j’entends des professionnels du web se présenter en tant que créateurs web (en toute bonne foi cependant) alors qu’ils sont en réalité des concepteurs et qu’en se nommant créateurs ils brouillent les repères à l’attention des personnes non averties, nos futurs clients.

Ma proposition : plutôt que de partir sur de fausses idées, clarifions en tant que prestataire le spectre des possibles (et des impossibles) dés le départ et pour éviter tout quiproquo ou mauvaise interprétation du prospect futur client.

Pour ma part j’ai pris les devants en (ré)expliquant ce qu’il faut comprendre par la notion de ‘créateur web’.

Que faire si un prestataire n’offre pas cette connaissance ?

Il peut être alors réalisée une étude et pour comprendre les fondamentaux du métier de son prestataire. 

Cette étude peut être réalisée en interne et son coût amorti aisément du fait que la relation avec le prestataire en question est une question d’années ou de décennies. Il s’agit alors d’un investissement.

Cette étude peut être en outre le fait d’un cabinet spécialisé dans la connaissance prestataire. Il y a là de la place pour un nouveau métier et un nouveau marché. Qui veut commencer ?

Cette étude peut être enfin demander à un prestataire comme condition à la signature d’un contrat dans un cahier des charges par exemple et pour sceller une collaboration sur le moyen ou long terme.

Ma proposition mériterait un plus grand développement. Je vous livre un ressenti et tente un argumentaire pour esquisser un modèle qui peut être vous inspirera et suscitera de nouvelles vocations. 

Qu’en pensez-vous ?

Score de pensée : 8/10
A propos du score de pensée

J’ai ajouté les dates suivantes :

A 18 ans en 1991 : j’écris un recueil de pensées dans lequel je synthétise mes réflexions
A 21 ans en 1994 : j’écris un conte pour adulte : le conte des 1001 planètes
A 21 ans en 1994 : je deviens assistant de direction et consultant junior pour une entreprise parisienne de conseil en stratégie et management Msc&associés
A 23 ans en 1996 : j’écris un recueil de pensées intitulé “Quelques pièces du grand puzzle de demain”
A 23 ans en 1996 : j’écris un 2ème conte intitulé “le 8ème jour”
A 23 ans en 1997 : je deviens webmaster pigiste au sein de la cellule des nouveaux programmes de la chaîne télévisée Canal+ puis pour sa cellule web
A 23 ans en 1997 : je deviens animateur multimédia au sein de la communauté en ligne ‘Le 2ème Monde’ de Canal+ Multimédia
A 24 ans en 1998 : je suis interviewé par Canal+ pour l’émission Cyberculture sur le thème “La cyberculture c’est quoi?” (aperçu 1 aperçu 2)

Visionner le cyber-profil


Mise à jour du 19 février 2023 :
J’ai ajouté la ligne :
A 40 ans en 2013 : j’initie une rencontre et un site web intitulé “Une vie en ORléans

J’ai mis à jour les lignes (et pour ajouter les urls associées) :
A 25 ans en 1998 : j’interviens dans une conférence pour parler des métiers liés aux nouvelles technologies
A 39 ans en 2012 : J’initie une rencontre parisienne intitulée “Les Chroniques du Téléchargement
A 42 ans en 2015 : je donne une conférence sur la finance

Soit nous allons nous orienter vers un web qui s’ouvre davantage c’est à dire que nous allons entamer un chemin vers un web qui nous offre de nouvelles perspectives, soit nous allons nous orienter vers un web qui au contraire se ferme davantage et nous oriente vers des contrées que nous avons déjà explorées sans nous convaincre de nous y installer.
Alors quel choix allons nous faire collectivement ?

Appelez-moi