Conférences

J’ai finalement été averti par ParisWeb que je ne serai pas parmi les conférenciers de leur prochaine édition du 6 et 7 octobre 2022. Chaque prétendant et dont je faisais partie donc, avait la possibilité de soumettre jusqu’à 5 sujets de conférence et j’en ai soumis 2 pour ma part dont l’un sur la création comme j’en faisais part dernièrement et l’autre sur la pollution plastique (abordée sous l’angle du web) mais hélas ni l’un ni l’autre n’a été retenu. L’e-mail que j’ai reçu aujourd’hui explique qu’il y a eu de nombreux sujets proposés et il a fallu que les organisateurs fassent une difficile sélection.

J’étais enthousiaste à l’idée de pouvoir défendre mes visions -au moins une parmi les 2 suggérées- devant le public de cette manifestation et nourrissais beaucoup d’espoir qu’elles aient un échos auprès de l’écosystème web. Mais hélas cela n’aura pas lieu.

Je prévois d’assister à ParisWeb 2022 en tant que simple participant donc. Ce sera ma première participation.

Paris Web tient sa 17eme édition en octobre prochain. J’ai postulé pour m’entretenir devant son public d’un sujet auquel je réfléchis depuis de nombreuses années : l’internet, enfer ou paradis de la création ? Il y a un processus de sélection en interne désormais qui va étudier tous les sujets soumis parmi les aspirants conférenciers. J’espère être retenu car l’actualité ne dément pas sur le sujet et notamment avec OpenSea.io, la plus grande plateforme d’échange de NFT qui a révélé que plus de 80% des NFT créés et mises en ligne gratuitement étaient des “plagiats, des fausses collections et du spam”.
Paris Web : www.paris-web.fr/
A propos de OpenSea.io : www.presse-citron.net/fakes-plagiat-cette-plateforme-suspend-la-vente-de-nft-jusqua-nouvel-ordre/

En 2019 j’avais projeté de donner ma conférence dans une brasserie d’Orléans où je réside mais ce projet avorta. Voici ci-dessous le flyer que j’avais réalisé à l’époque.
L’idée de cette conférence est intervenue il y a plusieurs années autour de 2015 et en réaction à la manière dont le web et l’internet évoluaient.
J’ai auditionné pour la présenter à TedX Orléans mais sans succès car on estima qu’elle était trop subversive.

Bref je n’ai pas réussi à convaincre de la nécessité de traiter de ce sujet.

Voici le flyer que j’ai réalisé pour annoncer la conférence et que j’ai diffusé sur les réseaux sociaux

Une participante, Agnès, a eu la délicate attention de pendre des photos de la conférence ce soir-là dont voici l’une d’entre elle. Il y a eu environ 60 personnes au plus fort de la participation. Voici ci-dessous l’une des photos (publiée avec son aimable autorisation).

Au cours de l’été 2018 une amie, Anne-Audrey, me téléphone afin de m’inciter à donner une conférence dans le cadre d’un évènement intitulé ‘Global Entrepreneurship Week” dont elle est la coordinatrice en France. Au début je suis sceptique puis j’accepte. Je réfléchis à un sujet. L’idée me vient de parler de mon expérience à propos de la valorisation des CD et DVD usagés. Je vais donner 2 fois la conférence.

J’ai été sollicité par le club des Jeunes Financiers qui a souhaité que j’expose ma vision de la finance participative. La finance participative connaissait tout juste son essor à l’époque. Le sujet faisait parler et à juste titre car il soulevait beaucoup d’espoirs mais aussi beaucoup d’interrogations.

Nous étions une douzaine de personnes au total.

J’ai beaucoup apprécié l’exercice. Ce fut la première fois que je donnais une (vraie) conférence. J’étais debout devant une assemblée exposant mes contenus sur un tableau de type paperboard où j’avais accroché de grandes feuilles exposant mes contenus préparés les semaines précédant la soirée. Les semaines précédant la soirée, j’ai investi beaucoup de réflexion, beaucoup d’énergie mais cela en valait la peine. J’ai par ailleurs beaucoup apprécié la confiance que m’a témoignée le Club des Jeunes Financiers spécialement Anne-Audrey qui a su percevoir l’intérêt de présenter ma vision sous forme d’une conférence. Elle avait raison.

La finance participative est un sujet qui m’a interpellé alors que je n’étais pas un spécialiste de la finance. C’est en observant ses acteurs et ses mécanismes j’ai été à la fois séduit mais aussi inquiet car j’estimais qu’elle s’engageait sur une voie qui prêtait à réflexion et discussion. J’ai à ce sujet créé un blog en 2013 intitulé « Crowdfunding mon amour! » lequel est toujours accessible ici : crowdfundingmonamour.wordpress.com

Ce projet était un projet initié à titre privé, tout comme la conférence. Le temps investi était pris sur mon temps de repos et de loisir en dehors de mon activité salariée de l’époque. Je n’étais pas un professionnel du domaine. J’habitais Orléans et j’effectuais très régulièrement des déplacements à Paris pour fréquenter l’écosystème des start-ups mais aussi pour animer une rencontre sur le sujet du crowdfunding.

L’annonce de la conférence est toujours visible ici : www.jeunesfinanciers.com/index.php?page=ACCUEIL&id=6352

Ce jeudi 12 novembre 1998, nous étions 3 conférenciers à intervenir au Centre Culturel Saint-Exupéry de Reims.
J’ai été invité par son Directeur en ma qualité de créateur de sites web et du fait de mon expérience à l’époque déjà longue de 4 ans. Je défendais l’idée que les métiers de demain n’existaient pas encore et que de nouveaux allaient apparaitre du fait du succès incroyable de l’internet et du web.
En 1998 alors que l’échange a lieu l’internet et le web ont acquis un intérêt auprès du grand public sans pour autant être encore entrés dans leur quotidien au point de le révolutionner. Nous sommes encore peu à avoir une connexion internet à la maison et ce sera le cas jusqu’en 1999 date à laquelle la connexion haut débit dite ‘ADSL’ fera son apparition participant à une plus grande démocratisation de l’outil.
Le directeur du Centre Culturel était lui tout comme moi un convaincu de l’importance de l’outil et de s’y pencher pour anticiper ses usages et notamment ses métiers.

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