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J’initie un sujet qui va traiter en plusieurs parties de mon statut de créateur de sites web et pour aboutir à la mise en évidence de constats sur ce statut et notamment sur la nécessité de le distinguer de celui de concepteur web. Je vous recommande la lecture de l’ensemble des parties (celle-ci et celles à venir) car chacune apporte aux précédentes un éclairage supplémentaire et aucune ne saurait donc être prise indépendamment des autres.

la création web et la conception web sont 2 choses différentes

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Quand j’entends parler de création de sites web aujourd’hui, et même de la part de professionnels du web, de mon point de vue un amalgame est fait. Cet amalgame associe création et conception or créer un site web et concevoir un site web sont 2 choses différentes.

Créer un site web c’est imaginer un nouveau concept, un concept original, qu’il faudra ensuite mettre en oeuvre à travers la conception web. 

Concevoir un site web c’est partir d’un concept, d’une idée qu’un créateur aura défini et mettre en forme celui-ci sur écran au moyen de logiciels et de codes informatiques.

Un créateur de sites web travaille avec une page blanche. Un concepteur web travaille avec son ordinateur. 

Le créateur invente, le concepteur réalise. 

Le créateur donne la feuille de route, le concepteur met en oeuvre les moyens pour atteindre chacun des points d’étape de celle-ci.

Un créateur web peut également être un concepteur web et c’est même indispensable. 

Parfois le créateur web se chargera lui-même de réaliser l’idée qu’il a imaginée en mettant en forme lui-même les pages web parfois il délèguera cette tâche à un concepteur de sites web. Et lorsqu’il délèguera il pourra le faire d’autant mieux qu’il connait bien la conception web.

Si le concepteur web n’est à l’inverse pas nécessairement un créateur web, lorsqu’il travaille pour un créateur web, il peut par contre très bien lui faire des propositions sur la manière de mettre en oeuvre son idée afin d’améliorer la feuille de route qu’il a définie. Et cela constituera d’ailleurs un précieux atout pour le créateur web.

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le créateur web et le concepteur web doivent travailler main dans la main

Je me définis comme un créateur de sites web. J’aime imaginer de nouveaux concepts et c’est le cas ces 6 derniers mois où j’ai travaillé à la mise sur pied d’une offre de service inédite imaginée par mes soins et que je m’apprête à sortir. J’ai dû prendre beaucoup de temps pour réfléchir à la manière de mettre en forme mon idée originelle et à écrire le contenu. Avoir une idée de nouveau service est une chose, parvenir à la mettre en forme efficacement et de façon pertinente en est une autre qui ne s’improvise pas.

Je suis un créateur de site web qui connait par ailleurs la conception web. J’ai créé mon premier site web en 1994 et si j’ai ensuite créé des sites web pour mes projets personnels (exemple ici) puis également de façon professionnelle notamment dans une précédente expérience en tant qu’auto-entrepreneur de 2000 à 2009. 

J’ai réalisé 80% du site web de l’offre de service que je m’apprête à lancer. Pour les 20% j’ai besoin notamment d’un concepteur spécialement sur le design mais aussi la mise au propre du logo.

En tant que créateur web je suis en permanence en quête de faire connaissance avec de nouveaux talents et pour qu’ils travaillent avec moi sur des missions clients ou pour mes propres projets et offres de services.

Et si une entreprise me demande de réaliser son site web ? C’est bien entendu possible et à ce sujet en tant que créateur je vais avoir la possibilité de proposer à cette entreprise de réfléchir avec elle à la création d’un site web qui se démarque, c’est à dire, qui va aller chercher sa singularité. Nous prendrons ensemble, le client et moi, du temps pour identifier sa singularité puis je définirai la meilleure manière pour ensuite l’exprimer sur écran quitte à imaginer une approche inédite.

Et si elle souhaite un site web dont elle connait déjà la forme par exemple si elle veut ce que l’on nomme un site vitrine dans sa forme la plus conventionnelle ? C’est également possible et je ne ferai donc intervenir là que le concepteur de sites web que je suis par ailleurs. Si je vois que je ne suis pas le plus compétent pour la réalisation attendue je n’hésiterai pas à recommander un professionnel ou à envisager de m’entourer de professionnels.

La conception n’est pas totalement exempte de créativité pour autant. En réfléchissant par exemple à un projet de site vitrine pour une entreprise il est possible que je sois amené en découvrant la problématique de cette entreprise à lui suggérer un projet plus pertinent pour y faire face. Fondamentalement le web est une page blanche et un site web peut endosser des formes et objectifs très variés.


Score de pensée : 9 / 10

L’article est fidèle à ma pensée. Même si je l’ai relu, je n’exclus pas une seconde relecture et donc une possible amélioration et correction à la marge. La photo illustrant l’article me plait mais je pourrais en changer pour une autre.
A propos du score de pensée

Mise à jour 24 janvier : j’ai ajouté une 2ème photo et ai enrichi chacune d’entre elles d’un texte ajouté au moyen d’un logiciel de graphisme

1ère photo de MESSALA CIULLA
2ème photo de Monstera

Depuis juin 2022 je travaille à la mise sur pied d’une offre de service que je m’apprête à lancer officiellement en janvier ou février 2023. Le service se nomme D’un regard extérieur. Un site web lui est intégralement consacré. Ce site web est prêt excepté pour ce qui concerne son design. Et notamment il lui manque un logo. J’y travaille. Voici un aperçu des épreuves auxquelles j’ai abouties ces derniers jours en usant de mon esprit créatif. Une fois le logo défini par mes soins je prévois de faire appel à un(e) illustrateur(trice) professionnel(le) pour sa réalisation.

J’ai été freelance dans les années 2000 et je le suis désormais de nouveau depuis avril dernier, depuis avril 2022. J’utilise le terme freelance mais le statut officiel c’est auto-entrepreneur ou entreprise individuelle (EI).

Je suis redevenu freelance 

  • pour me consacrer à une activité que je connais et que j’affectionne depuis presque 30 ans : la création de sites web
  • pour gagner en indépendance financière
  • pour permettre une poursuite des créations originales dont je suis l’auteur et notamment Richesse Collaborative Universelle, Plastique mon amour! et Plastique et câbles sous-marins
  • pour faire connaissance avec de nouvelles personnes, de nouvelles entreprises et de nouveaux métiers

Ces derniers mois je me suis consacré spécialement à 3 projets : 

  • J’ai apporté une version 1.0 à la licence Richesse Collaborative Universelle 
  • J’ai initié une rencontre entre freelances à Orléans
  • J’ai imaginé une nouvelle offre de service en rapport avec la création de site web, ai écrit son contenu et suis actuellement en train de mettre sur pied son site web ; cette offre ne sera visible du public que dans quelques semaines. Elle s’ajoutera à mon activité de création de sites web.

Toute entreprise quelque soit sa taille à partir du moment où elle dispose d’un site web, est tenue à certaines obligations légales qui entrent dans le cadre de la loi pour la confiance dans l’économie numérique. Un manquement à ces obligations expose à une amende très lourde ainsi qu’à une peine d’un an d’emprisonnement.

Il est d’usage que ces informations soient affichées dans une page communément intitulée ‘Mentions légales’ et dont le lien est tout aussi communément ajouté en pied de page des sites web. Voici par exemple la mienne.

Parmi les différentes informations qu’un site web doit afficher figurent les coordonnées de contact et la loi nous oblige à afficher soit un numéro de téléphone soit une adresse e-mail. 

Sauf qu’il y a un hic, un gros hic même.

Une fois affiché votre adresse e-mail ou votre numéro de téléphone vous exposez ces données à une récupération par des robots malveillants qui sillonnent le web jour et nuit avec pour unique et seul but de récupérer ces données. Une fois votre adresse e-mail ou numéro de téléphone récupérés ils seront vendus à des acheteurs tout aussi peu scrupuleux que ceux qui ont commandité ces robots. Vous serez alors exposer à des contenus non sollicités ce que l’on nomme communément des spams mais aussi par extension à du démarchage téléphonique.

Est-ce là la seule source d’exposition malveillante pour autant ? Non. Mais c’est une source sur laquelle nous avons prise et dont nous sommes donc directement responsable. Il y a d’autres sources qui hélas nous exposent malencontreusement à une diffusion non maitrisée de nos données, l’actualité s’en fait désormais souvent l’échos.

Alors comment protéger ces données d’une récupération malveillante ?

Je vais revenir dans une 2ème partie pour vous exposer la manière, manière que je pratique moi-même et qui me semble la plus pertinente à ce jour.

Google cela a d’abord été et reste encore aujourd’hui le meilleur moteur de recherche au monde.

Vous utilisez la messagerie Gmail créée par Google (pardon Alphabet devrais-je dire) ? Mais en fait sachez que la messagerie Gmail est née en 2004 soit bien après la naissance du moteur de recherche Google laquelle est survenue en 1998.

Google, le premier moteur de recherche au monde… Pourtant cela ne l’empêche pas aujourd’hui comme nous l’apprend cet article d’être visé par une plainte de la part de moteurs de recherche ‘concurrents’ qui demandent au Parlement européen de faire sauter les verrous imposés par Google sur les appareils Android. Plusieurs moteurs de recherche souhaitent en effet que chaque utilisateur puisse à tout moment changer de moteur de recherche au-delà de la phase de configuration. 

Selon mon observation, aujourd’hui parce que la société Google (pardon Alphabet) s’est diversifiée dans des tas de domaines qui ne lui étaient pas familiers initialement marchant ainsi sur les plates bandes de tout le monde (email, stockage de données, réseau social et j’en passe et des meilleurs), la société Google par voie de conséquence de cette diversification effrénée est devenue un concurrent lambda qu’on ignore même pour sa capacité première qui est juste incroyable de nous permettre une recherche la plus précise et la plus pertinente sur une masse de données en croissance exponentielle.

Ce que je crains c’est que le moteur de recherche Google ne puisse plus tenir son rôle de premier moteur de recherche au monde et que nous écopions de moteurs de recherche aux capacités inférieures qui auront conquis le marché 1) par opportunisme en profitant de décision de justice de ce genre et dont la capacité de recherche sera TRES inférieure à ce que le moteur de recherche Google est capable  2) par oubli des utilisateurs de ce que Google est à l’origine à savoir un moteur de recherche hors pair.

Assistons-nous au début de la fin du meilleur moteur de recherche au monde ? Si c’est le cas c’est Google lui-même qui en a été l’artisan en se tirant une balle dans le pied le jour où les fondateurs du moteur ont décidé de s’intéresser à autre chose que la recherche de contenus sur le web ce qui initialement était une compétence dans laquelle Google excellait et qui avait conduit à son succès.

S’il vous plait dites moi que je me trompe que j’apprenne quelque chose de neuf et élargisse ma perception du sujet. Je prétends que je sais comment Google doit se comporter mais je ne suis pas après tout à la place de ses 2 fondateurs.

Car il se pourrait que nous assistions par la même occasion au début d’une ère nouvelle pour ce qui est de la recherche sur le web et qui consacrera des moteurs de recherche émergeants qui en ayant eu l’intelligence de faire valoir leur existence et que celle-ci soit équitable par rapport au géant Google, vont nous permettre d’aborder la recherche sur le web de manière plus efficace et plus pertinente.

Il y a 2 axes d’explorations que je n’aborde pas dans mon développement mais que j’ai à l’esprit et qui pourrait nous permettre une interprétation plus juste des événements :

  • Comment le moteur de recherche Google est-il parvenu à s’imposer en tant que premier moteur de recherche alors que son essor en 1998 a coïncidé avec la présence d’un parc de moteurs de recherche à l’époque déjà important et qui n’était pas dénué d’intérêt et notamment : Altavista (né en 1994), Ask.com (né en 1996), Excite (né en 1995), HotBot (né en 1996), Lycos (né en 1994) ?
  • La demande des moteurs de recherche de laisser le choix à l’utilisateur de décider du moteur de recherche qui deviendra son moteur de recherche par défaut est analogue avec celles que les navigateurs internet (dont Firefox) ont faite il y a plusieurs années quand ils ont demandé à la Commission européenne en décembre 2009 qu’elle oblige désormais Microsoft à ne plus imposer de manière exclusive son navigateur internet aux utilisateurs de windows. J’avais à l’époque estimé sur ce sujet des navigateurs internet qu’il était nécessaire d’en débattre et je ne suis par surpris que l’histoire se répète sur un sujet connexe et même identique car entre-temps les navigateurs internet sont devenus à leur façon des moteurs de recherche et les moteurs de recherche sont devenus quant à eux des navigateurs de recherche. Duck Duck Go qui fait partie des plaignants dans l’affaire sus citée et qui a l’origine est un moteur de recherche (né en 2008) s’offre en tant que navigateur internet depuis 2022 avec Duck Duck Go Privacy Browser. Google est-il besoin de le rappeler, était un moteur de recherche à l’origine (né en 1998) puis est devenu en 2008 un navigateur internet par l’intermédiaire de Chrome.

Question subsidiaire : est-ce que l’avenir du web et de l’internet par extension y trouve son compte lorsqu’il est décidé à coup de décisions de justice émises par une instance publique fut-elle européenne ?

Ce que l’on peut retenir avec certitude c’est que les problèmes qui ne sont pas résolus se perpétuent et s’étendent. Parce que la liberté de choisir le navigateur internet qui allait devenir son navigateur par défaut sur sa machine n’a jamais été véritablement établit, il ressurgit à sa façon désormais avec les moteurs de recherche.

Alors est-ce que les moteurs de recherche vont parvenir à se faire entendre et à être présentés de manière équitable à côté du moteur de recherche Google ? Oui sans doute allons nous assister à une avancée en la matière mais cela ne signifie pas qu’elle parviendra à s’instaurer durablement dans le temps à partir du moment où elle est la conséquence d’une décision du justice et non une pratique décidée de manière délibérée par les utilisateurs, nous les internautes.

On ne le dit pas clairement mais il faut comprendre que le web et l’internet sont dans une logique d’effondrement tirés vers le bas par une logique de concurrence issue d’une façon très particulière d’aborder le monde.

En plus de réaliser le site web, je me suis occupé des éléments de communication à destination de la clientèle en magasin (PLV, flyer et borne interactive). J’étais également compétent pour ce qui relevait des clichés des produits (pains, viennoiseries et pâtisseries).

J’ai aimé cette expérience pour plusieurs raisons :

  • je travaillais en direct avec le fondateur et directeur de l’enseigne
  • son fondateur avait une vue ambitieuse de son métier et de son enseigne et beaucoup de projets en tête
  • tout était à faire en matière de communication : quand j’ai débuté la collaboration seul le logo de l’enseigne existait : il fallait donc également rédiger le contenu écrit des éléments de communication, choisir les mots justes et y apporter les éléments ergonomiques et graphiques
  • je faisais appel à des professionnels qui venaient me compléter là où ma compétence s’arrêtait ce qui fut le cas pour les illustrations par exemple
  • les pains, viennoiseries et pâtisseries étaient juste délicieux 😉

Cette expérience m’a permise en outre :

  • de pouvoir mettre en application ma conviction en matière de création web à savoir : un site web est non seulement un élément de communication mais aussi un élément au service de la stratégie à court, moyen et long terme de l’entreprise et qu’il faut le penser dès le départ comme tel ;
  • de constater qu’un beau projet c’est aussi et peut être d’abord une rencontre entre 2 individus et comme ce fut le cas avec le fondateur de l’enseigne.

Voici un aperçu du site web réalisé à l’époque par mes soins :

  • Vous constaterez que son design n’est plus au goût du jour. Comme exprimé pour 2 autres projets ici et , les codes évoluent sur le web. A l’époque son aspect était conforme aux attentes des internautes.
  • Vous remarquerez en outre que la charte graphique du site web fait un clin d’oeil à l’univers des enfants spécialement du fait de la présence d’une mascotte (le coq en haut à droite des pages). C’est délibéré. Le fondateur de l’enseigne était très désireux d’attirer l’attention des enfants et de les initier aux bons produits fabriqués à partir d’ingrédients de qualité.
  • Vous noterez que les couleurs jaune, rouge et orange dominent sur les pages. Elles sont un rappel des couleurs de l’enseigne, de son logo mais elles permettent aussi une mise en valeur des produits pains, pâtisseries et viennoiseries vendus par l’enseigne. Elles véhiculent en outre une symbolique propre aux couleurs : le jaune véhicule l’optimisme, le rouge dynamise et l’orange suggère la créativité.

Parce que mon expérience longue en la matière m’a démontré que c’était le plus sûr moyen de faire partir une relation quelque soit sa nature du mauvais pied et même parfois de la compromettre avant même qu’elle n’ait commencée. Quant à épier ou ne serait-ce que fréquenter assidument le profil d’une personne que l’on connait c’est déstabiliser ce qui aura été déjà construit avec celle-ci.

Quoi de plus facile que de se ruer sur les réseaux sociaux et d’aller voir le profil de cette personne que l’on vient de rencontrer ou avec laquelle on a été mis en relation et pour se faire une idée d’elle. D’une manière générale on n’aime pas qu’une personne se fasse des idées sur notre personne mais on concède volontiers aller se faire une idée d’une personne que l’on ne connait pas encore parce que tout juste rencontrée. Que voulons-nous au juste ? Voulons-nous nous faire des idées sur les personnes ou voulons-nous faire connaissance avec elle ?

Quand est-il naturel d’aller voir le profil d’une personne sur les réseaux sociaux ? Quand cette personne vous a communiqué l’adresse de son profil au moyen de sa carte de visite, quand elle vous en fait part (je suis sur tel réseau), quand vous trouverez cette adresse dans la signature de ses correspondances, de ses emails. Et si elle a un blog, quand elle vous communique l’adresse d’un article qu’elle a rédigé.

Dans le cas contraire si vous faites une recherche pour trouver son profil sur un réseau social et aller scruter celui-ci sans même la plupart du temps la demander en ami ou en relation alors vous court-circuitez la relation.

Et si je l’ai déjà fait ? Si par exemple je suis allé voir son profil et que je suis censé revoir cette personne et que je suis animé d’une volonté d’établir avec elle une relation de qualité ? Le meilleur moyen à mon sens dans ce cas, c’est de lui en faire part ; je suis allé visiter votre profil (ou votre blog, ou votre site web) et j’y ai découvert etc.

Quant à épier ou ne serait-ce que fréquenter assidument le profil d’une personne que l’on connait c’est déstabiliser ce qui aura été déjà construit avec celle-ci. Pour ma part j’en suis à ne pour ainsi plus fréquenter les profils de mes connaissances et amis… ou si peu. Et si la mise en relation entre nous n’a pas été effectuée d’un commun échange réciproque alors je ne vais jamais visiter son profil et je m’en tiens au canal de communication initial avec lequel nous aurons débuté notre échange.

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Voici une jolie illustration réalisée sur le vif par Natalia, illustratrice et photographe qui participait à la rencontre avec nous ce soir-là. Je vous invite à découvrir son travail : Natashilo.com

Nous étions 11 en terrasse pour nous rencontrer autour d’un verre et faire connaissance. D’autres personnes souhaitaient y participer mais ne pouvaient venir du fait de leur planning. D’autres ont du décommander au dernier moment.

L’idée plait et répond à un besoin réel comme je l’avais estimé.

Une nouvelle rencontre est prévue début septembre dont je vais définir la date prochainement.

Le flyer de la rencontre d’hier soir jeudi 7 juillet.


Crédit photo (le cocktail) : Pavel Danilyuk provenant de Pexels.com

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J’étais créateur web freelance à l’époque (voir mon parcours) et j’avais fait connaissance avec un illustrateur indépendant de talent qui m’avait confié la réalisation de son site web.
Le site web a été remarqué puisqu’il a reçu un prix régional délivré à l’époque par France Télécom (ancien nom d’Orange) dans la catégorie ‘les PME s’affichent’.
Vous pouvez visiter le site web.

Pour en finir avec l’an 2000 c’est le nom d’un programme spécial diffusé en janvier 1998 sur la chaîne Canal+. Il s’agissait d’une nuit entière d’interviews, reportages, extraits de films dédiés au mythe de l’an 2000. Un site web accompagnait et annonçait l’émission lequel a été réalisé par mes soins dans le courant de l’année 1997. A l’époque les codes étaient différents d’aujourd’hui et son apparence parait aujourd’hui désuète.

Le site web est consultable ici ; il manque certaines images ce qui se produit souvent quand l’Internet Archive s’occupe d’archiver un site web.

J’ai imaginé les rubriques suivantes et ai écrit leur contenu pour enfin les mettre en forme en tant que page web :

  • Robida, Visionnaire
  • La Carte du Futur
  • Peut-on créer le futur
  • L’arche de Noé

Je ne connaissais pas Albert Robida à l’époque. J’ai voulu réaliser une rubrique sur le site web à son sujet quand l’équipe de Canal+ m’a parlé de lui.

Les illustrations en page d’accueil ne sont pas de mon fait ; elles sont des créations de l’illustrateur de l’équipe au sein de laquelle je travaillais.

J’ai mis en place d’autres pages web lors de mon passage au sein de la cellule web de Canal+. J’ai également travaillé pour Canal+ Multimédia, j’aurai l’occasion d’y revenir. J’avais le statut d’intermittent du spectacle.

Vous remarquerez que le design du site web est désuet. En réalité il appartient à un autre âge. Si vous n’avez pas connu le web dans ses premiers temps, sachez qu’en 1997 les standards graphiques étaient différents. Voici par exemple la page d’accueil de Yahoo en 1998. Si vous la comparez à celle actuelle vous comprendrez mieux.

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